Logan & Nina
Tu es bon, tu es velouté et je profite de toi dès que je le peux. Notre relation est malsaine, ma taille va finir par se douter que je la trompe pour toi mais comment puis-je resister à tes charmes. Mon frappuchino d'amour.

Je sortais à peine de l'avion que déjà je me delectais à l'idée de me retrouver dans un Starbucks. Mon manager, donc mon père, m'avait interdit d'en prendre dernièrement. Il me fallait reprendre la forme et devenir plus athlétique. Comment vous voulez devenir muscler avec quinze tonnes de sucre dans le corps, si vous connaissez la réponse soufflez là moi je vous prie. Donc j'avais interdiction, de retour à Londres, d'approcher l'endroit divin de mes fantasmes de boisson sucrée. J'avais passé à deux doigt de me prendre des boissons energisante du type redbull pour obtenir ce sucre tant nécessaire à ma santé digestive *ou pas*, ce qui aurait mis en rogne mon père. Bref, je sortais à peine de l'avion que je courait chercher mes valises. Je savais où était mon argent de poche, puis loin du père loin du coeur. Mon plan était tout tracé pour la journée, j'allais entré dans un starbuck et commander quinze frappuchino. Quand la caissière allait demander les noms je répondraient " Ils sont tous pour moi et mes multiples personnalité en manque de sucre depuis quatre mois".  Bon plan non? A prioris c'était le plan de l'année ça c'est certain. Je pris mes sacs, mes valises puis me dirigea à l'extérieur de l'aéroport. Que de chance aujourd'hui, les photographes sangsue étaient occupé avec une vedette bien plus importante que moi qui elle arrivait de son jet privé alors que moi je venais d'un vol bien banal pour assurer mon anonymat. Incertain du nom de la vedette, je ne m'en préoccupait pas vraiment. Une fois hors de la bâtisse ainsi que loin des photographes, enfin " paparazzi" huh je detestais ce mot, je pris le premier taxi disponible. Valises sur le siège arrière, je m'installais à l'avant donnant l'adresse du loft, mais surtout je me fis un plaisir de préciser l'arrêt principal avant d'arriver à la maison.

Nous y étions en moins de cinq minutes. Le starbucks café. Il rayonnait, tel un halo de lumière s'étant installé autour de son signe, ou plutôt le soleil lui tappait dedans. J'avais un énorme sourire aux lèvres et je m'engouffrait à l'intérieur tel un simple enfant à Disneyworld. Je fis la file, sans trop m'en faire et finalement j'arrivais au comptoir toujours aussi joyeux. Je me depêcha de commander avant que la caissière me réponde brusquement « Désolé, on à plus de Frappuchino pour la fin de semaine. Il nous reste ...le reste sur le menu. » Je tombais silencieux comme une tombe. Plus de ...Non c'était un cauchemard? Mon père avait appeler à l'avance pour les interdirent de me servir? Un complot mondial menant à la dix-neuvième guerre mondiale? J'étais prêt à me lever une armée moi à ce moment précis et bombarder tout les Starbucks jusqu'à ce qu'on me donne mon Frappuchino. Oh et non, valait mieux être sage. La tête basse je n'eu d'autre choix que de prendre un café normal, puis je sortie à l'extérieur pour m'installer à une des tables du café. Il faisait beau tout de même aujourd'hui, mais quelque chose me manquait pour être heureux. Pourquoi étais-je damné à ne pouvoir gouter mon frappuchino? Il me faudrait passé une annonce discrètement pour faire la promotion de Starbuck en échange d'un de leurs produits de mon choix. Un soupire, j'étais desespérer pour du sucre. Si j'avais crus longtemps que seules les filles souffraient de diète à Hollywood j'avais eu tord. Perdu dans mes pensés, j'attendais sagement que quelqu'un vienne à ma rencontre. Le taxi était partie mener mes valises au loft, alors autant juste me croiser les doigts pour que la soirée avance.

BY .TITANIUMWAY