Aujourd'hui j'avais prévu d'effectuer une visite à l'hôpital général de Los Angeles , comme je le fais régulièrement, afin de visiter des enfants malades … non pas pour les bienfaits qu'une telle action pouvait apporter à ma carrière mais plutôt parce que je croyais réellement en ce que je faisais et que j'étais persuadé que les 60 minutes que j'allais passer auprès d'eux allaient leur apporter la force et le courage d'affronter les difficiles épreuves que la vie leurs imposaient.  Pour plusieurs ce genre d'activité était une façon de redorer leur image mais de mon côté je le faisais par réel intérêt, après tout j'avais un cousin qui avait passé presque toute son enfance dans ce genre d'établissement et je savais tout le bien qu'avait pu exercer sur lui ce genre de visite c'est donc ce qui me motivait à remettre un peu à mon public sans trop m'attendre à quoi que ce soit en retour … après tout fallait savoir reconnaître ce qui était prioritaire dans la vie et en ce qui me concernait j'étais d'avis que la santé venait en tout premier lieu.

Ce genre de visite avait le don de me virer le cœur à l'envers, chacune des rencontres avec ces gamins me laissait un souvenir au plus profond de mon être qui était de nature à me marquer jusqu'à la fin de mes jours. Alors que j'entendais plusieurs stars se plaindre que leurs projets tombaient à l'eau, que leur base de fans semblaient s'effriter je remettais ma conception de la vie en question alors que j'entendais ces gosses me dirent que tout ce qu'ils désirent est de connaître les joies d'une vie normale … je savais que je devais me montrer fort mais c'était trop me demander, leur faisant un bisous et un câlin alors qu'une infirmière prit le tout en photo afin qu'ils aient tous un souvenir de mon passage je finis par sortir de la dernière chambre les yeux rougis par ces émotions que visite venait de faire remonter en moi.

Quittant en vitesse l'hôpital, avant que les photographes ne soient alertés de ma présence, je montai à bord d'une voiture taxi lui demandant de me conduire en vitesse sur Sunset Boulevard afin de m'y déposer et c'est incognito que je rentrai au Starbuck me commandant un café ainsi qu'une viennoise avant d'aller m'installer dans un coin plutôt discret.

Miroir, mon beau miroir, dis-moi qui est la plus belle de toutes ? Bien sûr que c'est moi. Je m'étais levée plutôt de bonne humeur, avec une musique des plus entraînantes. Ca faisait du bien un réveil comme ça, mais avec un homme, ce serait tellement meilleur. J'appréciais ma toute nouvelle vie, mais malheureusement pas encore de Spielberg ou de Tarantino qui m'appelle pour un grand rôle. Je devais encore attendre, surtout que bientôt encore un tournage d'un nouvel épisode de cette série qui m'était devenue insupportable avec le temps. Heureusement, c'était pour faire mon show. En attendant, j'allais prendre un petit quelque chose à l'extérieur. M'habillant de manière classe et sexy, je partais de chez moi, avec de la bonne musique sur les oreilles. J'avais mis mon mp3 avec du Christina Aguilera : Ain't no other man. Le gardien tentait de m'interpeller mais je ne répondais qu'un yeah. J'étais dingue. Arrivant, je voyais mon chauffeur arrivant avec la voiture. Je montais tranquillement, l'engueulant même car il devait arriver avant moi. J'étais d'humeur massacrante avant de prendre un petit quelque chose. Je lui indiquais d'aller au Starbuck Coffee et que c'était pressée. Il avait retenu la leçon et sans tarder, on se rendait à l'endroit.

En arrivant, bien sûr, des fans semblaient si attristées de par mon sort. Mon talent d'actrice sortait au grand jour, faisant mine de jouer la petite fille épleurée, ne pouvant plus vivre. Oh, les fans si gentil demandaient des autographes et je les signais volontiers, leur donnant congé, car j'avais trop faim. En rentrant, ne voyant personne m'importuner, j'allais à la caisse. Je passais ma commande, passant d'un bon croissant avec chocolat au lait, un sucre, s'il y en avait plus, je gueulerais et que je devais être servie sur l'instant. Si c'était froid, ils ne me feraient pas payer leur merde. Bref, j'étais en forme. Attendant que ça arrive, je montrais bien que j'attendais et finalement ma commande arrivait. Je leur montrais bien qu'il fallait l'inscrire sur le compte, que j'ai dû vivre encore une sale période, jouant les filles innocentes. Ca marchait. Les bandes d'idiots, ils me croyaient à terre. Je prenais mon petit plateau et je tentais de trouver une table, enfin jusqu'à ce que je tombe sur mon chou. Chris était là, je ne rêvais pas du tout. Affichant un sourire des plus ravageurs, je ne pouvais que me manifester surtout que j'avais l'impression qu'il n'était pas en forme. oh, j'allais prendre soin de lui à ma manière.

- Oh, Chris, c'est une si belle coïncidence que de se croiser ici. Tu sais que tu m'as manqué, énormément. Dis-moi, tu vas bien ? Je n'attendais qu'un moment si magnifique et tu es là. Tu égayes déjà ma journée.

Je m'installais tranquillement, ne pouvant pas laisser mon chou, vous n'y pensez pas. Je posais ce que j'avais en main sur la table. Je cherchais sa main et je la trouvais, la caressant légèrement du bout des doigts et affichant un sourire qui n'aurait de cesse de dire que j'avais envie d'être auprès de lui.  

Plus souvent qu'autrement lorsqu'une personne s'enquiert de votre état en vous demandant si vous allez bien il s'agit d'avantage d'une formule de politesse destiné à meubler la discussion qu'un réel intérêt. Après tout il est de notoriété publique qu'au nom de notre individualisme collectif 50 % de la population se fout de ce qui peut bien advenir de l'autre 50 % donc peu importe la réponse que vous pourriez fournir à une personne qui ose vous demander comment vous vous porter dites vous qu'elle s'en fout que votre chienne ayant accouchée ait décidée de bouffer sa portée de chiots et que cela ait pu vous pousser aux portes de la déprime. Bien que j'étais d'avis que la grande majorité des gens ne se souciait que de leur nombril j'étais d'avis qu'il existait bien quelques exceptions et je savais pertinemment que Lea était une de ces exception bien que j'étais loin de me douter des réels motifs justifiant son intérêt à mon endroit.

Installé à ma table je ne pus que sourire lorsque je vis Lea s'approcher et s'enquérir de mon état, je la savais sincère lorsqu'elle me fit part de ses inquiétudes … du moins j'en étais persuadé. J'aimais tant entendre sa voix et que dire de son regard qui semblait avoir le chic afin de me troubler et me déstabiliser.

C'est toujours un plaisir que de te revoir ma belle Lea, c'est que tu m'as terriblement manqué. J'ai fait ma visite habituelle aux enfants en phase terminale à l'hôpital afin de leur donner un peu de bonheur mais à chaque fois ça m'arrache le cœur. Ce que je trouve injuste c'est qu'ils vivent cette épreuve dans l'indifférence totale … les gens s'en moquant préférant pleurer la mort de Cory alors que ces petits méritent de vivre mais bon faut croire que pour certaines écervelées l'essence même de la vie se résume aux péripéties des personnages de leur série préférée. Tant d'ineptie et d'étroitesse d'esprit, c'est triste lorsqu'on y pense. Mais je t'en prie exquise déesse devant l'éternel … installe-toi.

Il est vrai que je ne me sentais pas bien mais je savais qu'un peu de compagnie ne pourrait que me procurer le plus grand bien et niveau compagnie je ne pouvais pas demander mieux que celle de Lea. Mon regard se noyant dans le sien je finis par m'abandonner à elle, lorsqu'elle m'attrapa la main … je sentais que le lien entre nous devenait de plus en plus fort.

En le voyant là, devant moi, je ne pouvais que constater qu'il était toujours à croquer, que je désirais me retrouver dans ses bras et l'embrasser rien que pour lui montrer à quel point tout de lui m'avait manqué. Je ne comptais pas laisser qui que ce soit me voler la vedette face à un homme aussi charmant, attentionné et à tomber. Son sourire avait le don de me faire chavirer. Bien sûr j'avais trouvé un moyen tout simple de l'aborder, mais cela me permettrait de l'attirer jusqu'à moi. Je le regardais avec une telle envie, un désir si intense. J'avais bien l'intention de dévorer chaque parcelle de son corps. Je préférais largement être à ses côtés que de penser au prochain tournage qui m'énervait au plus haut point et dont je ne supportais plus mes partenaires de tournage. J'avais de plus grandes aspirations, de nettement plus grandes.

Ce qui avait le don littéralement de me combler, c'était de voir qu'il était troublé rien que de voir. Cela se remarquait et je comptais me servir de cela. C'était l'occasion. Je comptais m'échapper du tournage, m'enfuir et passer du temps avec mon chou, ça ne se refuse pas. Je comptais lui montrer que le temps si loin l'un de l'autre ne pouvait qu'être du passé. Je me souvenais qu'il allait faire une visite aux enfants en phase terminale à l'hôpital mais je ne me rappelais jamais quand il le faisait. Il m'en avait parlé à quelques occasions. Je comprenais son état, et je comptais le soutenir, après tout, comment ne pas craquer en voyant des enfants qui ne pourraient pas vivre toutes les merveilleuses choses de la vie. On pouvait en être malade rien que d'y penser, rien que de se dire qu'ils n'avaient pas la chance alors que d'autres ne méritaient pas d'en avoir. On en avait fait tout un plat pour la mort de celui qui avait partagé un bout de mon existence alors qu'il n'en valait pas la peine. Il n'était pas un dieu tout de même. Il n'était pas aussi important que d'autres personnes cachées dans l'ombre et que l'on ne voyait jamais. Je ne demandais qu'à réclamer justice, celle équitable. J'avais même envie de frapper ses personnes, celles qui se concentraient que sur les séries tellement qu'elles m'énervaient et je leur dirais réveille toi pauvre tâche, il y a mieux dans la vie que des putains de séries à la noix !!!! Il savait comment me parler. Exquise déesse c'était deux petits mots qui me donnaient envie de l'embrasser sur le champ et d'aller plus loin. Il m'invitait à m'installer ce que je faisais bien sûr, pouvant passer à la vitesse supérieure.

Son regard avait le don de littéralement me captiver et de m'envoûter au point même que j'affichais un joli sourire, celle de l'innocente mais pourtant coquine personne que j'étais. Je lui avais attrapé la main, effectuant de douces, puis de vigoureuses caresses. Je laissais même mon autre s'échapper pour caresser sa joue d'une manière si sensuelle. Au fond, c'était bien calculé, mais je désirais cet homme plus que tout.

- Je compte bien illuminer ta journée mon chou. Je sais que c'est difficile d'aller les voir au vu de leur état. On ne peut qu'avoir un pincement au coeur, être déchiré et craqué voyant qu'ils ne peuvent pas vivre une vie merveilleuse. Je suis certaine que tu leur apportes un peu de bonheur à chaque fois que tu vas les voir. Tu es si généreux, si attentionné, un homme que toutes les filles voudraient avoir. Savoir que les gens pleurent pour une seule personne célèbre et qui en plus a choisi sa manière de vivre alors que d'autres sont dans l'indifférence générale, ça me rend malade que j'essaye de rectifier la balance. Je t'admire tu sais, et être auprès de toi me montre à quel point je suis la plus chanceuse au monde.

J'intensifiais mon regard devenant des plus coquins, alors que je laissais ma jambe aller tout contre lui, remontant lentement le long de sa jambe pour ce que je désirais tant. J'y insistais en plus ne voulant que lui faire comprendre à quel point j'avais envie de me retrouver tout contre lui, que ses moments ensemble me manquaient tellement. J'aimais jouer de si belles et douces insinuations qu'il ne pouvait que craquer, je le sentais tout au fond de mon être. Tout le monde pouvait penser ce que l'on voulait de moi, mais j'avançais, aux côtés d'un homme que je désirais plus que tout. Avec lui, je vivais un bonheur, non un enfer au quotidien.

Ça me mettait hors de moi de voir ces prétendu journaliste me suivre dans chacun de mes déplacement nourrissant l'espoir de croquer sur le vif un cliché inédit de moi susceptible de leur permettre de palper gros, je comprenais que la presse et ses différents membres avait un job à faire et – tant que cela concernait mes activités professionnelles – j'étais d'accord à m'y plier mais j'étais également d'avis qu'ils allaient trop loin par moment en tentant de s'infiltrer dans le volet privé de mon existence. Bien sur j'avais choisi de vivre une vie de personnalité publique et j'en assumais parfaitement les bons et les mauvais côtés cependant je trouvais injustes qu'ils démontrent si peu de respects envers mes proches … mes sœurs, mon frère, mes parents … ils n'avaient pas à se voir traquer de la sorte. Je dois avouer que ce matin j'étais d'avis qu'ils avaient dépassé la ligne lors de ma visite à l’hôpital, en effet j'ai trouvé irrespectueux qu'ils tentent de venir gâcher ce moment entre moi et ce gamin se mourant à l’hôpital … je crois que c'est ce genre d'attitude aussi peu scrupuleuse qui me poussait à les détester ouvertement.

Plus les choses se précisaient plus j'en venais à perdre mes illusions sur Hollywood et son Star System … évidemment j'aimais mon métier et le fait de mettre de la joie dans le cœur de mes fans … c'est surtout l'attitude aussi merdique que déplorable de certains journalistes qui était de nature à me mettre hors de moi. J'étais fortement titillé par la folle envie de planter mon poing dans la tronche de certains de ses journalistes mais je savais que ce genre de comportement ne pourrait que m'emmener à me causer plus que problèmes qu'autre chose c'est pourquoi je préférai passer à autre chose.

Dégouté par les évènements je m'étais engouffré dans le Starbuck afin de m'installer à une table , seul dans un coin isolé, afin d'y ruminer ma colère et puis c'est alors que je vis Lea apparaître devant moi. Elle était toujours aussi belle, gracieuse comme une déesse, et elle était là devant moi à m'accorder de l'attention et de l'intérêt … elle était bien la seule à m'accorder autant d'importance. J'aimais me laisser attendrir par son regard, ses yeux étaient pleins de charme je ne pouvais leurs résister. Si pour certain Cory était un ange … à mes yeux l'ange véritable ne pouvait être que Lea l'autre n'étant qu'un piètre exemple de ce que la corruption peut faire à l'âme humaine. Se suicider n'est-il pas un péché capital selon notre Sainte Mère l'Église? Et c'est exactement ce que Cory a fait, se suicider, en s'enlisant dans ses vieux démons … vous me pardonnerez de ne pas en faire l'apologie mais en se droguant et en se soulant il a été l'artisan de son propre malheur si c'est ça l'exemple sur lequel veut se baser notre jeunesse je ne peux qu'arriver au constat qu'elle est charmante notre jeunesse … et dire qu'elle va finir par nous gouverner un de ces quatre.

Peu après l'avoir invité à prendre place je sentis sa main se glisser tout contre la mienne, alors qu'elle glissa son pouce vers l'intérieure, et je sentis par la suite sa main glisser tout contre ma joue je me sentis investi d'un tel sentiment de bien être et de paix intérieure que le tout me laissait sans voix. Frissonnant sous le doux contact de sa main je posai la mienne sur celle qu'elle glissait tout contre ma joue et je ne pus que noyer mon regard dans le sien alors que j'avais entrelacé mes doigts avec les siens.

Tu l'illumines déjà de par ta présence et la douceur de ta voix. En effet c'est dur, les gens ne peuvent pas comprendre d'autant plus que j'ai un de mes cousins dans cette situation c'est d'ailleurs un peu afin de soulager ma conscience de ne pas être suffisamment présent pour lui que j'accorde du temps à d'autres jeunes dans sa situation mais ça les gens qui nous traquent et qui se permettent de juger ne peuvent pas le comprendre. Ces gamins n'ont jamais rien demandé, ils sont né sous une mauvaise étoile … alors lorsque je vois tout ces bouseux pleurer parce que leur star préférée est morte en se soulant et en se droguant j'ai une folle envie de les défoncer à grands coups de marteaux afin de leur mettre du plomb dans la tête et de leur rappeler les vraies valeurs. Je suis là à gueuler et à t'ennuyer je suis impardonnable. Alors comment vas-tu ma princesse? La bande de bouseux de ton cast ne te font pas trop chier?

Mon regard se noyant dans le sien je sentis sa jambe glisser tout contre la mienne, alors qu'elle me faisait frissonner éveillant en moi un désir des plus insoutenable. Je me mordillai la lèvre alors qu'elle s'attarda à jouer du pieds en effleurant un endroit des plus stratégique et je compris exactement ce qu'elle pouvait avoir en tête à ce moment. Faisant mine de vouloir récupérer ma veste je glissai ma main sous la table histoire de la glisser tout contre sa cuisse , avec sensualité, histoire d'exacerber son envie et de la provoquer un peu à mon tour … cette femme éveillait en moi mes instincts les plus pervers et elle semblait y prendre goût.

Je n'avais vraiment pas envie de me retrouver avec les autres merdeux de la série, ce qu'ils pouvaient m'ennuyer avec leurs problèmes existentiels. C'était moi d'abord et rien d'autre, mais surtout, j'entendais du cory par-ci, cory par-là, mais merde, il y en avait marre, à croire que ma vie se résumait en fonction de la sienne. Heureusement, être au Starsbuck avait l'effet sur moi d'un bon bol d'air frais surtout en voyant Chris. Il était toujours aussi sexy, d'un charme fou, et surtout il me voyait moi, ce qui n'était pas du tout négligeable, car je pouvais utiliser de mon pouvoir de séduction pour qu'il soit à moi. Je ne pouvais que montrer à quel point il comptait à mes yeux. Je le regardais avec une telle envie, un désir tel que je voudrais le dévorer tout cru. Il m'avait invité et je m'étais bien exécuté, m'asseyant en face de lui. Je caressais sa main vigoureusement, effleurant même l'intérieur avec mon pouce, pour l'attirer vers moi. En posant ma main contre sa joue, j'étais éprise d'un désir si intense à son égard que je ne demandais qu'à sortir de cet endroit pour me retrouver dans ses bras. Je sentais sa main tout contre la mienne qui était encore sur sa joue. Ses doigts s'entremêlaient avec les miens. J'en frissonnais d'un désir si ardent. Je me sentais si bien à ses côtés. Il m'était vraiment impossible de lui résister surtout avec son regard, là, je craquais complètement.

Chris n'était pas comme tous les autres hommes que j'avais pu rencontrer par le passé généralement si froid, si distant et considérant les femmes comme des objets. En face de lui, j'avais l'impression d'être particulière, unique et il me le montrait bien. C'était véritablement un gentleman comme on n'en faisait plus. Il était même honnête et généreux envers les autres. Je n'allais pas le juger sur ses intentions, sur le fait d'apporter du bonheur à d'autres qui en avaient besoin et qui étaient véritablement laissés pour compte au profit des stars, des personnes vivant un rêve qu'aucun autre mortel n'atteindra jamais. N'empêche, tout cela faisait réfléchir sur le concept même de la vie. Le fait que son cousin soit dans cette position comme les autres enfants me rendait triste car tout ce qui m'importait c'était d'apporter un peu de bonheur, de joie, à un être si unique que j'avais en face de moi. La vie était injuste, comme si les personnes vivaient au travers des rêves d'autres personnes. Je comprenais d'autant plus sa colère, sa frustration, et je rêvais qu'enfin les personnes puissent prendre conscience de la réalité des choses, pas de pleurer des personnes qui ont eux-même choisi d'en finir avec le destin qu'ils ont jugés d'avance tragique. J'étais plus triste pour les personnes qui avaient des problèmes et qui n'avaient rien demandé ou des personnes qui n'obtenaient pas de l'aide quand il le fallait et qui le méritaient.

On n'arrêtait pas de me rabâcher sans cesse qu'ils étaient désolés pour la perte de mon petit ami, que c'était quelqu'un de bien, et qu'il n'aurait pas dû finir ainsi, mais merde, ils vivaient pas avec lui, comme moi. Ils ne savaient pas à quel point c'était l'enfer constamment. J'étais libre enfin de cette vie de merde. Je m'étais servie de lui pour avancer, mais en retour, il n'avait de cesse de jamais s'occuper de moi comme un gentleman. Il n'y avait que son accompagnement à l'autodestruction et rien d'autre. Les stars étaient des personnes comme les autres. Certes, certaines pouvaient déraper et quand on les aidait normalement, elles reprenaient pied, reconnaissant enfin que la vie avait un but, un sens mais d'autres, ce n'était pas la peine de les secourir. On pouvait me dire cruelle, sans coeur, mais mettez-vous à ma place de supporter une merde, un connard pareil. J'avais envie de crier au monde entier que j'en avais marre de ce merdeux, que j'avais envie de le quitter, vivre ma vie, mais la série était là, et je devais être bien vu de ses fans qui criaient sans cesse "rachel, finn, vous êtes le plus beau couple que la terre ait connu". C'était un cruel dilemme qu'aujourd'hui, j'avais réussi à m'en débarrasser et au travers des yeux de Chris, je me sentais épanouie. J'avais encore plus envie de me blottir dans ses bras, de pouvoir l'embrasser, le caresser et plus encore. Je me mourrais de désir pour lui. Il était adorable, à croquer, et surtout de penser à moi. Les merdeux du cast ? Bien sûr qu'ils n'arrêtaient pas de me faire chier avec des cory il ferait ça, et j'en passe et des meilleurs. Qu'ils arrêtaient de me casser les noix avec ce genre de discours ! Je devais garder mon self-control préférant me concentrer sur la plus belle chose qu'il ne me soit jamais arrivé. D'ailleurs, coquine comme j'étais, je ne me gênais pas pour glisser ma jambe tout contre la sienne, y allant lentement pour qu'il ressente le même désir que je ressentais pour lui en ce moment-même au point de vouloir me précipiter tout contre lui, arrivant même à ce que j'avais envie le plus, et effleurant lentement, pour faire monter la température d'un cran. J'arrivais à le faire craquer que par la suite, je sentais sa main glisser tout contre ma cuisse, de telle manière à ce que je ressente un désir tel qu'il m'était difficile de me contrôler. Oh, j'aimais ses moments que j'avais envie de l'emmener loin d'ici alors que je me mordillais discrètement la lèvre, pour tenter de me contrôler. Il savait appuyer sur la corde sensible mais je comptais faire bien plus.

- Je ne peux qu'être charmée par un homme aussi honnête, généreux et gentleman que toi mon chou. Tu es un exemple pour nous tous. Je comprends mieux tes motivations mais tu aides beaucoup de personne rien que par ta présence et ton soutien, ça, c'est le plus beau cadeau que l'on puisse espérer. Je comprends ta colère, ta frustration et je prie pour que les gens retombent dans la réalité au lieu de pleurer des personnes qu'elles idéalisaient et même qu'elles pensaient connaître. Tu ne m'ennuies pas, tu sais, tu avais besoin d'évacuer, et il le fallait. Ce n'est pas bon de garder tout pour soit. Oh, tu sais, je vis ma nouvelle vie, tentant de me libérer de mes chaînes sur cette série qui n'a de cesse de bouffer mon espace vital. J'entends à chaque fois parler de ce que j'ai perdu et me prenne pour une veuve qui ne se consolera pas de la perte d'un être cher. Pire encore, ils connaissaient le cas, sa situation mais ont préféré que je me démerde seule. Il me dégoûtait déjà lui, mais eux encore plus, car ce sont des faux-culs et il me tarde d'en finir. Ils doivent ignorer encore que bientôt le contrat va se terminer et là, ce sera hasta la vista les losers. Tu sais que tu me fais un tel effet mon chou, j'avais tant besoin de ça et tu sais ce dont j'ai tant besoin. Tu es tellement irrésistible. J'ai envie que l'on soit loin de cet endroit sur le champ et je te montre à quel point j'ai besoin de te savoir auprès de moi.

Oh, la traduction était simple dans ce genre de cas : "je te veux et de suite." J'étais aux anges à ses côtés et je voulais rattraper le temps perdu à ses côtés, alors que je laissais ma main rejoindre la sienne, faisant un petit clin d'oeil si sexy, et la caressant, pour rendre les choses encore plus excitantes alors que je murmurais clairement sans que personne ne puisse me voir que j'avais envie de lui plus que jamais et de son corps de bel apollon.

J'avais beau connaître le succès je ne l'avais pas laissé me monter à la tête et me corrompre, j'avais demeurer simple – en accord avec mes principes et mes valeurs – et je ne pouvais que retirer une certaine satisfaction d'être demeurer l'individu authentique et intègre que je suis. Il y a tellement de faux cul à Hollywood, le genre de connards prétentieux qui changent du tout au tout en connaissant le succès que je ne pouvais que me féliciter de ne pas être devenu aussi pathétique que certains acteurs masculins ayant joués dans High School Musical ou dans Glee mais ne comptez pas sur moi pour nommer le moindre noms je me refuse de m'abaisser à ce genre de choses.

Bien que j'avais envie de me retrouver fin seul au Starbuck , afin que personne ne puisse me voir dans un tel état, je dois admettre néanmoins que j'étais ravi de voir Lea … après tout un visage familier ne pouvait que me remonter le moral. J'adorais cette façon qu'elle avait de tenter de me changer les idées, de me caresser la main … la belle brune savait parfaitement comment me faire perdre la tête. Sentir sa main tout contre la mienne alors qu'elle remontait sa jambe , d'un geste lent et furtif tout contre la mienne, ne pouvait qu'être de nature à me troubler alors de la voir se mordiller la lèvre et me faire ce regard à la fois timide et perverse ne pouvait que m'achever dans les règles de l'art.

Je sais que ce n'est pas facile pour toi d'entendre tout ces gens te dicter ce que tu devrais ressentir et je suis touché de voir à quel point tu te montres douce et compréhensive à mon égard. J'ai envie que l'on s'évade loin d'ici et qu'on ne se soucie que de nous deux.

Je ne pouvais pas lui résister lorsqu'elle se montrait aussi entreprenante et je finis par glisser ma main tout contre la sienne, approchant ma bouche de son oreille lui murmurant que j'avais une folle envie d'elle.

Etre au Starbuck me permettait de m'évader de cet enfer qu'était le tournage de la série, mais bientôt, j'allais en terminer vu l'annonce de son arrêt. Le cinéma pouvait me tendre les bras mais surtout, j'allais profiter du temps libre auprès de celui qui me faisait craquer : Chris. Je ne désirais qu'être loin de cet endroit avec lui, que je puisse pleinement me retrouver dans ses bras alors que l'on s'échangerait des baisers plus que passionnés, que je puisse enfin sentir nos chaleurs l'une contre l'autre. Je n'avais que la possibilité d'intensifier mon geste sur sa main ou même en caressant avec ma jambe ce qui me faisait le plus envie y allant le plus lentement afin de jouer la vilaine tentatrice. Je voulais qu'il soit dingue de moi, qu'il soit littéralement obsédé. Son regard, ce visage à croquer, me faisait craquer, alors j'exprimais ce que je désirais au travers de mes yeux, jouant les perverses. Il arrivait à m'apaiser, même à me montrer à quel point j'étais bien plus forte que toutes ses personnes qui ne comprenaient rien à ce que j'avais pu traverser jusqu'ici. Il y avait des cons dans ce monde et on ne pouvait rien y faire. J'avais réussi, il était tout à moi. Il était hors de question que je laisse passer une occasion pareille car je pouvais être seule avec lui. Je sentais sa main tout contre la mienne. C'était si enivrant que je m'en mordillais la lèvre pour éviter de me jeter dans ses bras. Il réussissait à m'achever. Il était temps de partir et de suite, je n'en pouvais plus. Je m'approchais à mon tour de son oreille lui murmurant que moi aussi j'avais envie de lui et qu'il n'avait qu'à fermer les yeux pour deviner à quel point je l'embrasserais tellement qu'il m'avait tant manqué, que lentement, j'enlèverais tous ses vêtements, que je le couvrirais de baisers et même plus, de manière coquine, qu'il pouvait s'imaginer la suite. Je le regardais lui faisant un clin d'oeil des plus sexy. Je trouvais qu'il était à point.

- Ses gens s'imaginent tellement de choses à croire qu'ils voudraient dicter ma conduite, ma manière de pensée et d'agir. Ce n'est pas facile d'entendre tout ça, mais j'ai le sourire, je me sens si bien auprès de toi. Le reste n'a pas d'importance. Ce que je souhaite, c'est de voir un beau sourire sur ce visage à croquer. On doit s'évader d'ici afin de se retrouver toi et moi. Je ne rêvais que d'entendre ses mots mon bel ange. Je te suis mon chou même jusqu'au bout du monde.

Là, je ne pouvais vraiment plus me contrôler que je lui effleurais sa joue, le regardant avec une envie des plus folles avant de la retirer, pour éviter les regards indiscrets. J'étais prête à partir sur le champ. J'aimais jouer avec le danger. J'allais vers le lobe de son oreille, l'effleurant avec mes lèvres pour en rajouter sur mon envie de partir. Je souriais d'une manière plus que coquine alors que je murmurais d'une voix quasi inaudible pour ceux qui pourraient n'être pas loin de nous qu'il pouvait m'épater, car j'aimais encore plus.

C'était bien d'avoir des admirateurs car après tout si nous faisions ce métier c'était avant tout pour le public donc d'obtenir la reconnaissance du public ne pouvait que s'avérer notre ultime récompense cependant certains fans allaient trop loin … à un point tel que leur amour et leur admiration semblait d'avantage relever de l'obsession que d'un réel engouement et cela ne pouvait que s'avérer malsain et morbide. Pour ce type de fans les gens célèbres devenaient un membre de leur famille et ils scrutaient leurs moindres faits et gestes à la loupe … à un point tel qu'ils se vantaient de nous connaître. S'ils savaient à quel point on peut s'en foutre de leur avis?

Après avoir passé un moment à l’hôpital afin de mettre un peu de soleil dans la vie de ses enfants , qui en avaient grandement besoin, je finis par fuir afin de me réfugier au Starbuck et c'est alors que je vis Lea venir me rejoindre. J'aimais tant la voir et me laisser bercer par sa voix alors qu'elle glissait sa main tout contre la mienne. Elle était une amie proche mais plus que tout elle savait parfaitement jouer de ses charmes afin de faire de moi ce qu'elle voulait et je ne pus que me laisser prendre au piège alors qu'elle me murmura , dans le creux de mon oreille, de m'imaginer avec elle dans un endroit discret ou elle pourrait me dévêtir et m'embrasser … elle me vendait du rêve.

On a assez parlé d'eux, ils ne méritent pas autant d'importances. J'ai tellement envie de me retrouver seul avec toi ma princesse. Allez je te laisse filer ma belle et on se retrouve chez toi … je te donne dix minutes d'avance. Ça te vas?

On jouait littéralement avec le feu à force de se caresser , de se toucher, de se regarder et de se frôler les lèvres comme nous le faisions mais d'une certaine façon nous aimions ce petit jeu. Je la regardai se lever tout en admirant ses jolies courbes alors qu'elle s'éloignait au loin … je me devais d'attendre qu'elle soit loin avant de la suivre, histoire de berner les curieux.

Etre auprès de Chris était ce dont je pouvais espérer de mieux, que de m'emmerder avec des fans qui pouvaient savoir mieux que moi, la manière dont je devais vivre, de ressentir les choses mais je me foutais d'eux finalement, car ils ne sont pas aux commandes de ma propre destinée. Sentir sa main tout contre la mienne était ce qui pouvait être un aperçu de ce que l'on allait vivre, de plus torride et de plus passionné. J'aimais jouer avec la tentation, lui montrer à quel point, il ne pouvait se passer de moi. Il réussissait à me rassurer, à ce que l'on soit rien que tous les deux, laissant le monde à l'extérieur. On se trouvait dans une bulle. J'aimais tant ses petits mots doux, qui avaient le don de me donner un sourire. Avec ses belles paroles, je comptais bien lui faire la plus belle surprise de sa vie. J'accentuais mon regard sur lui. J'étais une véritable diablesse. Je le tentais même encore plus, limite à l'embrasser. Je le caressais d'autant plus, me levant. J'affichais un sourire des plus coquins, lui murmurant au creux de l'oreille qu'il me tardait d'être seule avec lui, que les minutes données, il n'allait pas le regretter. Je partais la première en direction de chez moi.

Dès que j'arrivais à bon port, je décidais de me préparer, partant à la salle de bains et enfilant un déshabillé des plus sexy. Je vérifiais ma coiffure, mettant en valeur mon visage. Mes formes étaient en valeur ne pouvant que l'attirer tout contre moi dès qu'il arrivera. Je mettais un peu d'ambiance dans chez moi. J'attendais maintenant un chou si irrésistible qui frapperait à ma porte. Je restais debout pendant un instant, tournant en rond. Dès que j'entendais frapper, je me précipitais et j'ouvrais d'une manière lente, voyant un chou, un homme à croquer, que je le faisais rentrer, le prenant par le col et le plaquant contre le mur, l'embrassant à pleine bouche. Il était si sexy, je ne pouvais plus résister.

- Il me tardait tant de pouvoir t'embrasser, t'avoir tout contre moi, tellement que tu me fais envie chéri. Je voulais retrouver tes baisers, tes caresses, tes douces attentions sur ma peau. J'espère que tout te plait mon bel ange, que je te promets que nos retrouvailles seront à la hauteur. J'espère que toute cette surprise te plait, c'est que tu es mon invité. Mon déshabillé est choisi en ton honneur. Oh prends-moi mon coeur dans tes bras, comme j'ai envie de toi, et je sais que tu ressens la même chose.

Je laissais l'une de mes mains prendre ce qui me faisait le plus envie et ça confirmait mon intuition. Je ne pouvais plus attendre tellement que la tentation au starbucks était grande. Je me suis jetée sur lui. Vilaine j'étais ? Non, je n'avais juste envie que de lui, de rattraper le temps perdu. Je laissais mon autre main caresser son torse des plus sexy, passant sous sa chemise et l'arrachant, l'embrassant dans le creux du cou, lui murmurant à l'oreille, qu'il était la plus belle chose qu'il ne me soit jamais arrivée.

Le moment que j'avais passé à l'hôpital, alors que je côtoyais ces gamins dont la fragile existence ne tenait qu'à un fil, m'avait paru des plus insoutenable et c'est en me sentant envahi par une profonde tristesse et rongé par l'impuissance que j'avais décidé de me sauver afin d'aller retrouver mes esprits au Starbuck. Je m'étais donc installé à une table située à l'arrière afin de me retrouver loin des regards indiscrets et c'est alors que je vis Lea s'approcher de moi. Elle n'hésita point à se montrer douce et amicale, afin de m'apporter du réconfort, et gré de notre discussion je ne pus que frissonner au gré de la douceur de ses caresses … à un point tel que je ne pus qu'accepter sa proposition de nous retrouver chez elle.

Je la regardai s'éloigner et c'est après lui avoir concédé un peu d'avance que je finis par me lever de ma place afin de quitter à mon tour. Afin de ne pas ameuter qui que ce soit je me rendis directement chez moi et je pris une douche rapide pour ensuite enfiler un jeans et une chemise et c'est après avoir enfilé une veste que je quittai ma résidence alors que je me fis conduire par une voiture jusque chez Lea en lui donnant un généreux pourboire afin qu'il tienne sa langue. Aussitôt débarqué de la voiture je me rendis devant la porte de la résidence de Lea afin d'y toquer. Mon attente s'avéra des plus brève, je ne pus que sourire lorsque je la vis devant moi, elle était des plus désirable dans cette tenue des plus sexy qui lui allait à ravir, et en moins de temps qu'il ne le fallait pour le dire je me retrouvai plaqué contre le mur alors qu'elle m'embrassa à pleine bouche d'une façon plus que sauvage.

T'es vraiment en beauté, j'adore ce que tu portes ça te va divinement bien. Tu m'as manqué, plus que tu ne peux l'imaginer mon bel ange et le fait de te retrouver me rend si heureux... il n'y a pas de mots pour dire à quel point j'adore ta surprise. Tu lis en moi comme dans un livre ouvert ma princesse.

Je me mordillai la lèvre du bas, tout en la regardant, alors qu'elle vint agripper cette petite partie de moi qui lui faisait tant envie et je glissai mes mains contre le bas de son dos alors qu'elle m'embrassa dans le creux du cou, glissant sa main contre mon torse pour ensuite mieux m'arracher ma chemise. Sous le doux écho de ses murmures je ne pus que réaliser le fait que j'étais pleinement en son pouvoir et je la laissai me guider alors qu'elle m'entraina en direction de son antre.

Il n'y avait rien de mieux que de passer un moment aux côtés d'un homme si charmant, d'un bel ange comme Chris, car tout le reste, ce casting de merde avec ses ratés me donnait la nausée rien que d'être en leur présence. Ce moment au Starsbuck était si intense, si tentant que je rêvais de me retrouver dans ses bras ce qui allait arriver, tellement que j'avais appuyé sur la tentation, sur l'envie. J'étais tellement frustrée de ne pas avoir pu le toucher, de l'embrasser, de le caresser que maintenant en étant chez moi, je pouvais réaliser tous mes désirs. J'avais tout préparé pour que nos retrouvailles soient si mémorables que l'on ne pourra que se souvenir de ce moment pendant fort longtemps. Quand il était arrivé, j'étais la plus heureuse qui soit, et surtout, j'avais l'occasion enfin de le dévorer tout cru. Son sourire me faisait vraiment craquer. D'un sourire si malicieux, si coquin, je l'avais carrément fait rentrer chez moi, le plaquant contre le mur et l'embrassant à pleine bouche, même le dévorant, et effectuant une danse des plus langoureuses entre sa langue et la mienne.

J'affichais un sourire des plus coquins, mais tellement heureuse d'être à ses côtés. Je voulais profiter de chaque moment, de son corps comme personne. J'adorais toujours de si beaux compliments venant d'un bel apollon, d'un dieu vivant comme lui, et je me sentais si comblée, si libre, que je lui offrirais tout même ce qu'il n'osait jamais rêver. Non, je n'étais pas celle exauçant ses souhaits mais celle qui sera à ses côtés à tout jamais, alors mettre le paquet était mon devoir voyons. J'avais réussi à lui faire un effet, rien que son regard me le prouvait et m'inspirait tant pour la suite. J'avais tant kidnappé ce qui me faisait tant envie, le caressant vigoureusement, faisant monter encore plus l'envie pour moi, qu'il me prenne et fasse de moi la femme la plus comblée au monde. Ses caresses étaient un pur délice, une merveille de tous les instants. Je n'en avais pas assez. J'en voulais tellement plus que j'en arrachais sa chemise, glissant ma main tout contre son torse, le caressant vigoureusement, le griffant par endroit et donnant des coups de langue des plus torrides. Je l'embrassais dans le creux de son cou, prenant sa main et le guidant de suite dans ma chambre. Le regardant d'une manière plus que perverse, je prenais son visage entre mes mains, l'embrassant à pleine bouche, même le dévorant tout cru. Je laissais l'une, descendant dans sa nuque, le griffant légèrement. Je caressais le bas de son corps avec ma jambe, visant son entre-jambe et là, je le poussais sur le lit. Je m'avançais sur le lit telle une tigresse, kidnappant ce que je désirais tant, laissant ma main aller vers sa ceinture, l'enlevant, faisant comme s'il était mon stripteaseur que je déshabillais. Je baissais son pantalon, et voyant son boxeur, je mettais directement, ma main, malaxant encore plus l'objet de mon désir, le titillant du bout des lèvres, et lui murmurant au creux de l'oreille à quel point il était à croquer.

- Bébé, ce que tu me fais tant craquer. Tu es un véritable canon, si sexy, et de si beaux compliments mon coeur. Tu n'as encore rien vu chéri de ce que je te réserve, que tu ne réclameras que moi encore et encore. J'ai tant envie de toi, que tu me prennes de suite, que tout mon être te ressente. Je t'offre ce qu'il y a de mieux chéri, t'as intérêt à être sage sinon, tu ne verras plus la lumière du jour. Je ne supporterais pas de te perdre, que de te partager, hors de question que je préfèrerais t'éliminer de l'équation plutôt que de te voir avec une autre fille que ta déesse chérie. Tu es à moi, à moi seule bébé. J'ai envie de te combler en cet instant.

Je baissais son boxer, alors que j'accompagnais ses mains sur mon corps, pour que ma lingerie soit enlevée petit à petit. Directement, je prenais sa gorge avec ma main, serrant pour montrer que j'avais le pouvoir et que rien ne pouvait changer ça. Voyant le sang, je donnais un coup de langue des plus torrides pour l'effacer, lui mordillant le lobe de l'oreille et de lui murmurer de me faire un bien fou de suite, de me procurer un tel plaisir que l'on s'en souviendrait toute notre vie, alors que je lui mordillais la peau du coup, laissant mes mains caresser son torse tout en le griffant. J'ondulais mon corps tout près du sien, alors que je le couvrais de baisers par endroit. Ne pouvant plus attendre, je levais mes cheveux en arrière, m'empalant directement sur l'objet de mon désir. Je lui murmurais au creux de l'oreille de me suivre, qu'il me fasse vibrer comme la dernière fois alors que je sentais le désir m'envahir.